
En 2005 sur The Last & Lost Blues Survivor, compilation du label américain Music Maker destinée à réhabiliter des musiciens oubliés, on découvrait une voix qui n'allait plus nous quitter : celle de Pura Fé, indienne tuscarora, artiste et activiste. Avec son album Sacred Seed, la chanteuse remonte aux sources du blues amérindien et abandonne sa guitare lap-steel pour se concentrer sur de merveilleuses harmonies vocales.
En première partie, les mélodies folk-soul et l’insolence douce de Rakia.
Pour ce concert, le 106 sera en disposition places assises en amphithéâtre.