2020

LE 106 Allée François Mitterrand • 76100 Rouen
Infoline : 02 32 10 88 60 • info@le106.com

Annulé

LE CONCERT EST ANNULÉ. LES BILLETS SONT REMBOURSABLES AUPRÈS DES POINTS DE VENTE JUSQU'AU 30 JUIN

"We were hoping to embark on our May European dates without incident but as we’ve continued to monitor and consider the shelters in place across the continent, travel bans at home and abroad, additional festival cancellations, and everyone's safety, it became clear we need to postpone this trip overseas. We will keep you posted on the rescheduling of these shows, for information on refunds please visit your point of purchase. Sending strength and virtual hugs to you all. Love, Mike, Aaron and Travis.”

La ville d’Eugene, Oregon est le berceau de ce trio doom rugueux. L’histoire de Yob débute en 1996 sous l’impulsion de Mike Scheidt (guitare/chant), Isamu Sato (basse) et Gabe Morley (batterie) avec le désir de s’inscrire dans la lignée des pionniers que sont Sleep, Electric Wizard, ou encore Burning Witch et High On Fire. Une première démo verra le jour en 1999 et suscitera déjà l’intérêt des critiques spécialisés. Il faut toutefois passer la vitesse supérieure, et c’est chez 12th Records que cette étape est franchie avec la sortie en 2002 du premier album des américains, Elaborations Of Carbon. L’année suivante, Yob enregistre l’arrivée décisive de Travis Foster derrière les fûts afin de pallier le départ de Gabe Morley, mais le groupe va également effectuer un transfert chez Abstractsounds pour la sortie de Catharsis en 2003. Aidé d’une production plus forte et d’un style qui s’affine, ce disque va propulser de facto les américains parmi les ténors de la scène.Mais Mike Scheidt est prolixe en matière de composition. Il ne faut attendre en effet qu’une année avant de pouvoir écouter la nouvelle livraison du groupe, The Illusion Of Motion. Metal Blade Records remarque alors le phénomène grandissant autour du groupe et s’empresse de signer Yob. Quelques mois suffiront toutefois pour mettre en boîte The Unreal Never Lived, leur quatrième opus. Sorti au cours de l’été 2005, l’album est annonciateur d’une mauvaise nouvelle puisque Travis Foster et Isamu Sato décide de quitter le navire. Le futur de Yob est désormais incertain, mais Mike Scheidt déclare néanmoins que le groupe ne reviendra qu’à la seule condition d’être à 200% de ses moyens. Mais voilà que la nouvelle tombe le 12 janvier 2006, le groupe jette définitivement l’éponge. Mike Scheidt annonce alors se diriger vers un autre projet, nommé Middian, et qu’il décrit dans la continuité de Yob. 2009 marque contre toute attente le retour de Yob aux affaires et au complet puisque le cinquième album du groupe sort cette année-là. « The Great Cessation emboîte » en effet le pas digne de ses prédécesseurs. Le groupe gagne en galons et entérine avec l’album suivant « Atma » un état de fait : les patrons, c’est eux. Emmenés par Mike Sheidt et avec cet album incroyable sous le bras, les Etasuniens acquièrent un statut de parrains de la scène doom et sortent deux albums live enregistrés à leur deuxième maison : le prestigieux Roadburn festival.

Originaire de Seattle, le duo YEAR OF THE COBRA équilibre son stoner entre grosse basse renvoyant aux mantras de OM et chant aérien à la Kylesa. Frappe lourde, fuzz poussé à 11 et groove enfumé caractérisent le son de ces disciples d'Acid King et de Ufomammut qui ont sorti leur second album l'année dernière, "Ash And Dust", chez Prophecy Productions (Alcest, Dool...).

Aucun message